Patron et fondateur de l’école CREA INSEEC à Genève depuis 10 ans, René Engelmann cultive la discrétion et la modestie, malgré une école prestigieuse dont la réputation déborde largement nos frontières. Portrait d’un vrai Suisse – parfaitement bilingue s’il vous plaît – un brin visionnaire.

Le pitch de René ?
J’ai passé mon enfance à Bienne, puis après une année à Zürich et à Paris, j’ai rejoint Genève en 1982 pour y créer mon agence de communication. En parallèle, j’ai fondé, il y a 20 ans, l’école de Communication Polycom à Lausanne et en ai assuré la direction jusqu’en 2014. Voilà 10 ans, j’ai lancé CREA à Genève avec un bachelor en direction artistique puis rapidement en digital marketing. Tout le monde se réveille actuellement sur la transformation digitale, chez CREA INSEEC nous formons des étudiants sur le sujet depuis 9 ans, à l’époque où le digital n’en était qu’à ses prémisses. Aujourd’hui, nous proposons aussi un bachelor en Développement Web & App ainsi que des Masters en Marketing du Luxe; en Digital Marketing; en Mode; en Sport et Nouvelles technologies, et enfin en Innovation. Sans oublier la formation continue, très appréciée par les quadras/quinquas qui souhaitent une remise à niveau. Depuis deux ans, nous avons pris une orientation internationale avec des Masters full english. Le fait d’appartenir depuis près de 4 ans au groupe INSEEC qui dispose de 19 écoles nous permet également de proposer des opportunités exceptionnelles aux étudiants. Pensez, ils peuvent suivre une partie de leur cursus à l’étranger : Londres, Los Angeles, Monaco, Paris ou Shanghaï. Entre autres…

Le Café des Bains et vous ?
J’adore cet endroit, j’y viens régulièrement à midi. À pied, cela me fait une escapade d’un quart d’heure de marche et une bonne raison de traverser l’Arve. Ce n’est ni trop grand, ni trop petit. L’atmosphère est géniale et les plats sont franchement excellents. Le nec plus ultra pour moi restant de pouvoir régler mon repas avec l’application du Café des Bains ! C’est l’un des facteurs décisifs pour lesquels j’aime venir ici. C’est mon côté geek…