Rencontre avec Grégory Crausaz

Cette semaine, rendez-vous avec le Genevois, Grégory Crausaz, client fidèle du Café des Bains depuis 15 ans.

Grégory, parlez-nous de vous.
Je suis né à Genève et j’y ai toujours vécu: mes amis, ma famille ainsi que mes habitudes sont ici. Après avoir effectué mon école de commerce à Saint-Jean, j’ai travaillé pendant plus de 6 ans dans l’import-export de spiritueux pour Bacardi-Martini. Aujourd’hui à 41 ans, je travaille depuis 17 ans pour une société de trading de matières premières située à Plainpalais en tant qu’opérateur pétrolier.

Comment avez-vous connu le Café des Bains ?
À l’époque, LE lieu emblématique de la vie nocturne Genevoise, entre bar et boite de nuit, c'était la SIP, juste en face du café. Remplacée aujourd’hui par le Cercle des Bains, la SIP organisait des concerts, des events, etc. La moyenne d’âge y étant un peu plus élevée qu’à d’autres endroits, nous la fréquentions beaucoup, mais les befores se faisaient toujours au Café des Bains. C’est comme ça que j’ai connu Caroline, l'ancienne propriétaire, qui à cette époque ramenait toujours des recettes très originales de ses voyages et Christelle Bilquez qui s’occupait du service et qui est devenue une amie de longue date. À cette époque, j’étais client plutôt le soir, mais aujourd’hui je viens davantage pour des business lunch, des repas d’entreprise, fêtes de fin d’année, mais aussi avec des amis ou de la famille. Ce que j’apprécie au café, c’est sa cuisine qui va à l’essentiel et de manière efficace. Je trouve l’escalope milanaise incroyable et les menus du jour affichent un rapport qualité-prix génial. 

Une anecdote à nous raconter ?
En plein mois de décembre, à l’occasion du repas de Noël de l'entreprise, nous avions privatisé un restaurant le midi pour 50 personnes. Plusieurs échanges de mail avaient eu lieu et tout avait été confirmé. En arrivant devant cet établissement, on nous dit qu’on ne peut pas nous recevoir, que ce n’est pas le bon jour! Nous nous retrouvons en panique, à 50 sur le trottoir… Soudain j'ai l’idée d’appeler Christelle, il est alors 13h. Je lui explique la situation et 2 minutes plus tard, elle me confirme qu’on peut tous venir! Ce jour-là, votre équipe, en acceptant de rester tout l’après-midi pour nous, a sauvé notre repas de Noël! Depuis, la plupart de nos repas se font dans votre établissement et mes collègues me reparlent encore de cet événement!

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